Afrikana Soul Sister
AFRO-ÉLECTRO-BEATS
Afrikana Soul Sister mêle la production et le mix sonore de Jean-François Lemieux, les percussions sauvages de Joannie Labelle et de Fa Cissokho ainsi que la voix de Djely Tapa. Le quatuor souffle un air electro-house-organique où les ambiances polychromes et les racines musicales de l’Afrique trouvent un écho à la fois explosif et émotionnel.
Un album homonyme a vu le jour en avril 2017. Il a valu au groupe deux nominations, une de l’ADISQ dans la catégorie Album de l’année – Musique du monde et une autre de la GAMIQ dans la catégorie Album/EP World.
Le groupe cogite présentement sur du matériel amalgamant modernité et sonorités roots! Un nouvel album est à surveiller en 2020.
« Le quatuor mené par Djely Tapa et Jean-François Lemieux nous ont balancé un electro-house festif et ensoleillé qui n’a pas tardé à faire danser la poignée de festivaliers déjà présents et plus qu’heureux de se délier les jambes (en attendant Jain?). On a apprécié l’énergie déployée par la troupe, les pas de danse de Tapa et les riches textures qui enveloppaient la rythmique endiablée. À revoir plus longuement! » (Jacques Boivin – Ecoutedonc.ca – 9 juillet 2018)
De nouvelles dates seront bientôt annoncées. New dates will soon be announced.
Peu importe son origine, sa religion ou ses convictions, la musique rassemble les gens, tisse des liens et crée des rapprochements. C’est d’ailleurs à cette rencontre que nous convie Afrikana Soul Sister. Un voyage entre l’Afrique et l’Amérique, un pied dans la tradition et l’autre dans modernité.
Une aventure guidée par les rythmes électroniques de Jean-François Lemieux, aux arrangements et à la basse, les chants de la griotte Djely Tapa et les percussions de Joannie Labelle et de Fa Cissokho. « Dans un contexte où certains tentent de semer la division, c’est important pour nous de porter un message. Celui que nous sommes tous des humains portés par les mêmes valeurs, et ce, malgré nos différences », explique Jean-François Lemieux.
Une philosophie qui teinte toute la démarche artistique du groupe, créé sous l’impulsion du bassiste qui a accompagné les plus grands noms de la musique québécoise, dont Daniel Bélanger, Jean Leloup, Kevin Parent et Ariane Moffatt. « J’avais envie de mettre sur pied un projet musical avec une dimension plus profonde, plus spirituelle », raconte-t-il.
Déjà attiré par les rythmes d’ailleurs, c’est au cours d’un voyage en Afrique de l’Ouest et après avoir collaboré avec Youssou N’Dour que Jean-François Lemieux découvre que, sous sa cadence envoûtante, la musique africaine plonge ses racines dans des traditions millénaires. « En fait, la musique joue un rôle social qui dépasse le concept de vedettariat », explique celui qui gravite autour de l’industrie depuis qu’il a 15 ans.
De retour à Montréal, il décide de partir à la rencontre de la diaspora africaine pour mieux décoder les symboles qui se cachent sous ces rythmes traditionnels. C’est dans ce périple qu’il rencontre Djely Tapa, Malienne descendante d’une lignée d’au moins sept générations de griots, qui cherche à moderniser son art. « Dans les sociétés africaines, l’enfant de griot est destiné à être l’oreille, la mémoire collective, le conseiller, le médiateur… Et c’est par la musique, les chants, la danse qu’il porte ces messages. Mais il faut être capable de s’adapter aux réalités d’aujourd’hui pour continuer à rejoindre les gens », explique-t-elle.
Ainsi, Afrikana Soul Sister réussit à atteindre cet équilibre entre l’ouverture et la tradition, sans dénaturer le message. La musique devient alors un point de rencontre et d’échange entre deux univers. « On touche aussi différents sujets dans nos chansons comme le rapport avec la nature, la force du travail, la beauté de la vie, souligne Jean-François Lemieux. Ce sont des thèmes de base que la société moderne néglige souvent. »
Le résultat : une musique qui décoiffe, des rythmes endiablés, une énergie palpable, une complicité évidente entre les membres du groupe et bien sûr, un message social omniprésent. Une recette qui a du succès, puisque leur premier album éponyme, lancé en 2017, s’est classé dans le palmarès des 50 meilleurs albums de l’année par ICI musique. Sans compter qu’Afrikana Soul Sister a également été en nomination aux galas de l’ADISQ et aux GAMIQ.
« Mais je pense que c’est vraiment en spectacle qu’on peut percevoir l’essence du groupe, note Djely Tapa. Dans la musique et les rythmes, plusieurs messages passent, et ce, au-delà des mots et des dialectes de nos chansons. Mais surtout, c’est un moment privilégié qui permet de laisser tomber ses préjugés pour vivre une expérience positive ensemble. » Pas étonnant qu’Afrikana Soul Sister ait enflammé les planches dans plusieurs festivals au Québec et que le groupe soit fin prêt à conquérir le reste du monde. Une histoire à suivre !
- Afrikana Soul Sister (2017)
Festival international de jazz de Montréal, FME en Abitibi-Témicasmingue, Tam Tam Macadam (Alma, QC), Festival MEG de Montréal, Festival d’été de Québec, Festival international de la chanson de Granby, Festival Musique du Bout du monde (Gaspé), Festival Rythmes du monde (Saguenay), Kultrun World Music Festival (Waterloo), Northern Lights Festival Boréal (Sudbury), Festival de la chanson de Tadoussac
2017
GAMIQ – Nomination : Album/WP World
ADISQ – Nomination : Album de l’année – Musique du monde
CITATIONS DE PRESSE
« Le quatuor mené par Djely Tapa et Jean-François Lemieux nous ont balancé un electro-house festif et ensoleillé qui n’a pas tardé à faire danser la poignée de festivaliers déjà présents et plus qu’heureux de se délier les jambes (en attendant Jain?). On a apprécié l’énergie déployée par la troupe, les pas de danse de Tapa et les riches textures qui enveloppaient la rythmique endiablée. À revoir plus longuement! » – Jacques Boivin – Écoutedonc.ca – 9 juillet 2018
« Tout au long du spectacle, il a été question de la fusion entre musique africaine, entendue malienne et traditionnelle, et l’electro moderne et occidental, notament via leur album Afrikana Soul Sister. Tapa a chanté, dansé, fait l’éloge des enfants, du Québec et du public. Ce dernier le lui a rendu.
Que vouloir de plus? » – Touki Montréal – 3 juillet 2018
« On imagine très bien entendre cet album dans une boîte de nuit tellement ses 11 morceaux arrivent à installer une ambiance endiablée dès Mayébo, la première pièce. Même en tentant d’en faire une écoute passive, il est impossible de ne pas se laisser entraîner par les musiques métissées d’Afrikana Soul Sister. En somme, il s’agit d’un solide disque où les irrésistibles rythmes groovy font vibrer tout le corps et ne nous quittent… peut-être jamais. » – François Marchesseault – Ici Musique
Jean-François Lemieux (production)
Fa Cissokho (percussions)
Joannie Labelle (djembe, congas, bongos, darbouka)
Djely Tapa (voix)
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